Tchad: Brahim Moussa de «ASJT» candidat au poste du président du Conseil National Consultatif de Jeunes(CNCJ)
Le candidat de l’Association pour la Sensibilisation et la scolarisation des Jeunes au Tchad (ASJT) Brahim Moussa a fait un point de presse ce 21 novembre 2020.
L’objectif de ce point de presse est de déclarer sa candidature au poste de président du Conseil National Consultatif de Jeunes(CNCJ).
» Mesdames et messieurs les journalistes,
Chers Monsieurs
Permettez-moi de vous adresser la bienvenue à cet important point de presse,
De prime à bord, je me nomme M. Brahim Moussa, ingénieur en science de l’éducation et de formation, spécialisé en politique publique éducative et médiation pédagogique.
L’honneur me revient de déclarer ma candidature officielle au poste de président du Conseil National Consultatif des Jeunes (CNCJ).
Le CNCJ en tant que premier organe de la jeunesse est à mon avis autour duquel doit réunir toutes les questions et les doléances de la jeunesse tchadienne.
C’est dans un souci permanent d’offrir à la jeunesse la possibilité de s’épanouir et de se prendre en charge pour une meilleure intégration sociale et économique tout en considérant sa participation au développement du pays que je postule ma candidature à ce poste.
Au regard du leardship du Maréchal du Tchad son excellence Idriss Deby ITNO, président de la République, Chef de l’Etat, Chef du gouvernement, en partie imprégné par le souci de voir une jeunesse modèle et non instrumentalisée par les politiques afin de donner un autre visage à l’avenir du Tchad que ma vision pour le CNCJ a pour objectif d’accompagner sa politique en faveur de la jeunesse tchadienne. Le candidat Brahim Moussa
Cette vision est axée sur les secteurs socio-culturel, la promotion féminine, l’emploi, l’éducation et la formation.
Par conséquent, ma candidature porte sur une politique inclusive et innovatrice prenant en compte toutes les aspirations et attentes de la jeunesse tchadienne, en mettant un accent particulier sur la décentralisation du CNCJ dans toutes les 23 provinces, dans un élan d’équité, de bonne gouvernance, de la cohabitation pacifique, la cohésion sociale, l’harmonie entre les filles et fils de notre cher et beau pays.
Enfin, comme disait Ibrahima Théo Lam dans son ouvrage, intitulé lettre à la jeunesse africaine à la page 19, « Derrière chaque grand défi, il y a une grande bénédiction. Derrière chaque grand combat, il y a une grande grande victoire »
TWM Ahmat Adoum Moussa