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Tchad: Homosexualité, trahison, stagiaires de Harvard, DJOUGOUROU indexe la haute sphère politique

Le désormais ancien Directeur Général de l’AZEES, Ousmane Abdramane Djougourou a, dans des publications postées sur sa page Facebook dénoncé l’attitude des Harvariste et la montée en puissance de la pratique de l’homosexualité dans la sphère de l’Etat.

Le 27 janvier dernier, l’ancien Conseiller du Président de Transition et Directeur Général de l’AZEES dénonce les nominations à la Primature depuis quelque jours : « Nous avons l’impression que les anciens stagiaires, les visiteurs, les gens qui ont suivi des petites formations en ligne, etc, à l’Université Harvard sont du coup devenus des diplômés de celle-ci. »

Loin d’avoir finit, Ousmane Abderamane Djougourou s’insurge contre certaines pratiques nuisibles observées dans la société tchadienne dans un second post datant du 30 janvier dernier.

« L’homosexualité, une perversion psychique qui viendrait des localités musulmanes. J’ai entendu avec stupéfaction le témoignage époustouflant d’un jeune tchadien victime d’une tentative d’attouchements sexuels de la part d’un haut placé de la République. Beaucoup de soupçons ont épinglé certains hauts cadres dans les réseaux sociaux en 2022 mais nous n’avons jamais voulu prêter le flanc aux rumeurs. Cependant, ce témoignage me laisse sans voix. L’homosexualité est une pratique abjecte, déshonorante et proscrite par toutes les religions monothéistes. »

Avant de continuer plus loin, « Le phénomène prend des proportions incontrôlables dans notre société. Elle servirait un tremplin au bon nombre de jeunes aux postes de responsabilité. Je dénonce cette pratique honteuse et contre nature dont la plus part qui s’adonnent seraient des Musulmans, chefs de familles et sidéens. Nous devons réclamer une loi anti-homosexualité à l’image de l’Ouganda. Nous ne devrons pas avoir peur à cause de la montée en puissance des gays dans notre pays. »

Reclamant une révision du code pénal, Ousmane Abdraman suggère des peines sévères contre cette pratique. Avant de conclure par « la communauté LGBT n’a pas sa place dans la société tchadienne. »

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