La IV République, celle qui prône la
rigueur dans le travail et la compétence de ses cadres à bien traiter les
dossiers administratifs, n’est que vain mot.
Les arrêtés portant suspension des chefs
de cantons truffés des erreurs. La suspension peut-elle s’appliquer aux
personnes déjà mortes?
Voici le contenu qu’un des
journalistes de notre rédaction a parcouru et décelé les imperfections graves
pour un État qui se respecte.
L’arrêté ° 016 le Canton Waddi
Hamra, l’actuel chef de canton s’appelle Dahab Abderahim Dahab. Par contre
l’arrêté a suspendu Abderahim Dahab son papa décédé il y’a longtemps.
L’arrêté du Canton Marfa, l’actuel
chef de canton s’appelle Abdedjelil Tahir Abdedjelil, l’arrêté suspend
l’ancien chef de canton décédé.
L’article 2 de l’arrêté demande au
gouverneur du Ouaddaï, d’appliquer l’arrêté, alors que le canton Korio se
trouve dans le département d’Abdi province de Sila.
Ainsi l’article 2 doit appeler les deux
Gouverneurs à l’application de l’arrêté.
Du laxisme administratif ne s’en est-il
pas de trop? On ne peut pas diriger un pays où résoudre un conflit
quand on ignore la limite des provinces et réveillé les chefs de cantons de
leur tombe en les suspendant.
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