La CASAC se dit outrée par certaines positions adoptées par rapport aux élections

La CASAC coalition des Associations de la Société Civile pour l’Action Citoyenne, se dit outrée par certaines positions adoptées par une partie de la classe politique, par rapport au calendrier électoral législatif ;

N’avaient-ils pas demandés incessamment en son temps, l’organisation de ces mêmes élections ?

Mais ma foi, où est donc la cohérence quand ils s’insurgent aujourd’hui contre l’organisation de ces mêmes élections législatives.

Notre pays le Tchad aspire depuis une décennie à la paix, et il devenait alors conséquemment impératif de protéger, voire de chérir cette paix retrouvée.

Quotidiennement, nous constatons des réactions époustouflantes voire abracadabrantes, frisant parfois l’indécence, par rapport aux diverses opinions de certains membres de la classe politique Tchadienne, qui rejettent l’organisation d’élections dans notre pays.

Ces acteurs politiques, et ceux de la société civile bien évidemment, qui surfent sur les pesanteurs de haines et de divisions, doivent se rendre à l’évidence que le peuple Tchadien est désormais mûr, et à ce titre, il ne permettra guère à un quelconque quidam de venir véhiculer les messages de déstabilisations, teintés de germes nauséeuses, qui sentent indiscutablement la mauvaise foi patriotique et l’incivisme.

Platon dans son allégorie des métaux classe les hommes en groupe d’or, d’argent et de plomb.

Je le paraphrase pour dire que le peuple Tchadien a tant enduré, et je ne m’embarrasserai pas de précautions oratoires, pour dire qu’il vaut de l’or. Il y a de l’or dans sa bravoure, son courage et sa loyauté infaillible vis-à-vis de la République.

Nous pensons au niveau de la casac que le Président de la République est la synthèse de la nation ; quand il éternue, c’est toute la société qui s’enrhume.

Cependant, nous n’accepterons pas que des petits esprits égarés dans le train-train froid de l’exil, et en mal d’existence, puissent proférer à son encontre des propos abjects, et qui plus est, irrespectueux, dans le seul but d’écorcher son image, et en filigrane celle de notre pays.

Des nouveaux et embryonnaires groupuscules politiques, ayant pour seul territoire et vivier électorale les claviers et la toile, viennent de voir le jour.

 Mais hélas, ces derniers arrivistes de la classe politique Tchadienne, font de la politique par effraction. Leurs collaborations avec les officines et autres laboratoires extérieurs, sont des secrets de polichinelle.

Ils pensent naïvement grugés l’opinion publique, par des phraséologies politiques prêt à porter, digne des grands films hollywoodiens.

La CASAC demande à ces vendeurs d’illusions, de redescendre sur terre, car la gestion d’un pays ne se fait pas à l’image d’un conte de fée, mais plutôt, avec empathie et délicatesse.

Le Tchad est aujourd’hui entouré par plusieurs foyers de tensions, caractéristique de l’insécurité ambiante au sahel.

La cohésion nationale et le sens de responsabilité de nos compatriotes, dans leur entièreté, sont vivement interpelés.

L’union sacrée derrière Son Excellence Monsieur le Président de la République est un devoir contextuel, que seul les esprits réfractaires rejetteront.

D’autres agitateurs immatures, regroupés dernièrement, sous une appellation alphanumérique, avaient faits des demandes utopistes, propres aux néandertaliens, pour demander la démission du Chef de l’Etat. Mais Diantre, dans quel monde sommes-nous ?

Autant dire que ces derniers, si j’ose m’exprimer trivialement, sont des comédiens de mauvais gouts, et à la limite, des poltrons politiques qui affichent sans gêne, et toute honte bue, leurs inconséquences, et par ricochet, leurs idées surannées, préconçues et totalement en déphasage avec la réalité politique contemporaine.

Le peuple Tchadien a donné un mandat clair au Président de la République, et qu’aucun autre aventurier politique, même sorti d’entre les cuisses de Jupiter, ne pourra le lui contester.

La casac demande à la population Tchadienne de ne point céder aux allégations creuses, mensongères et dénuées de tout soubassement rationnel, de ces nouveaux parangons politiques, aux cols blancs, qui chercheraient désespérément, à se faire de la publicité sur l’autel de la naïveté du subconscient collectif national.

Il ne fait de sens de ramer à contre-courant, quand on sait que le bateau Tchad est aiguillonné par des responsables politique matures, dignes de ce qualificatif et ayant pour leitmotiv, la patrie d’abord.

Il faut être un incrédule de la dernière heure, pour prétendre ignorer ou snober les bons, remarquablement positifs, qu’a connu notre pays le Tchad, et ce, dans pratiquement tous les domaines.

Les tintamarres cybernétiques produits par les activistes au sein des réseaux sociaux, n’absoudront jamais les avancées politiques majeures de notre pays.

La jeunesse est le fer de lance d’une nation.

Elle ne doit pas suivre les crachats insensés de ces activistes, qui ont fait des réseaux sociaux, leurs tribunes de propagandes par excellence.

Les réseaux sociaux doivent être utilisés avec tact et lucidité, car l’usage irrationnel de ces derniers, ne conduit qu’aux blocages inutiles, souhaités par les ennemis de notre nation.

Une jeunesse responsable et respectueuse des valeurs républicaines, est un gage, non moins important dans le développement d’un pays. C’est pourquoi, nous demandons, pour la énième fois, à notre jeunesse d’appréhender la réalité avec beaucoup de sagesse et de maturité.

La coalition des Associations de la Société civile pour l’Action Citoyenne CASAC, soutient les actions posées par les pouvoirs publics, notamment l’état d’urgence, ainsi que la lutte contre l’usage des armes de guerre par les civils, dans les différends qui les opposent.

La CASAC demande par ma voix, à toute la population Tchadienne, d’être vigilante, et ne point donner l’occasion aux différents clochards de la vie politique Tchadienne, en manque d’inspiration, d’assouvir leurs désirs diaboliques.

A l’orée des échéances électorales futur, l’esprit républicain doit absolument prévaloir sur les autres dividendes politiques personnel, qui ne décrédibiliseront que leurs propres auteurs.