Société : La Société CPL s’indigne de rumeur le concernant sur les réseaux
Le Directeur général adjoint de la Société China PingLe (CPL), transformation entreposage et travaux alimentaire SARL, a fait une mis au point, ce dimanche 24 juillet 2022, suite au rumeur sur les réseaux faisant objet de la présence des aflatoxines dans les farines de maïs communément appelée Yes.
En effet, CPL est une société privée Chinoise de fabrication des équipements agroalimentaires et des investissements en Chine et dans différents pays du monde, notamment en Afrique. Ces investissements sont aussi variés que divers, dans la transformation de farine à base de blé et la farine de maïs. Il a été inauguré en date du 03 Mai 2019 par le feu Maréchal du Tchad, Idriss Déby Itno.
À l’entame de son propos, Mahamat Abdramane Goukouni, directeur général adjoint de CPL, a dénoncé une agression et campagne de dénigrement gratuite sur les réseaux sociaux envers la société CPL. Il constate avec amertume que depuis exactement deux ans leur société fait l’objet des attaques et accusations répétées sans fondement par des mains invisibles. « Nous sommes tantôt accusés sur nos documents administratifs et fiscaux, tantôt accusés sur l’hygiène des nos machines et son environnement », a-t-il déploré.
Le directeur général adjoint de noter que leurs produits ne sont pas cancérogènes. Ils obéient à la rigueur de profil de l’Union Européenne (UE) et respectent la norme Onusienne incarnée par le Codex Alimentarius qui exige la teneur des aflatoxines à une limite inférieur à 20 microgrammes/kg.
Pour lui, tous ces chapelets des accusations ont été vérifiés par les autorités concernées en la matière en l’occurrence la CECOQDAet la CPL avait justifié avec preuve à l’appui. « Ayant échoué, dans toutes ces démarches et tentatives malveillantes, maintenant on prend pour cible la qualité du produit de marque Yes. Toutes ces vastes sémantiques de propagande macabre orchestrées de long en large sur le toile n’est qu’une épisode d’un long feuilleton en sourdine la différence de celle-ci est qu’elle est digitalisé », s’emporte le directeur général adjoint.
Nous sommes en droit de poser la question de savoir si les maïs cultivées au Tchad et surtout à Pala sont cancérogènes ? S’interroge Mahamat Abdramane Goukouni. Et d’ajouter, le contenu de notre produit est tributaire à la réponse à cette question « car nous n’importons rien de l’extérieur et nous n’ajoutons aucun produit chimique sur ce produit local ».
Par la voix de son directeur général adjoint, la société CPL exprime son entière disposition pour une contre expertise par un laboratoire de renommé international. Par la même, la société informe qu’il a ouvert une information judiciaire contre X.
Toumaï Web Médias