Tchad : L’Association « Ley Sao » antenne de N’Djaména lance ses activités
Le local de la commune du 1er Arrondissement de N’Djaména a servi de cadre, ce 9 juillet 2023, pour le lancement officiel des activités de l’Association « Ley Sao » Antenne de N’Djaména.
C’est le Président National de l’Association Ley Sao, Khalifa Malloum, qui a présidé cette cérémonie en présence du Maire de la commune du 1er Arrondissement, Djibrine Mahamat Abdelkerim, la Président de l’Association Antenne de N’Djaména, Dakouma Abbaguia, les membres du bureau de ladite organisation, les autorités traditionnels et bien d’autres invités.
A l’entame de son mot de circonstance, la Présidente de l’Association « Ley Sao » Antenne de N’Djaména, Mme Dakouma Abbaguia, a tout d’abord rappelé que, Conformément à l’ordonnance N°27/EIT/SUR du 27 juillet 1962, l’Association dénommée « Association Pour la Promotion de la Civilisation SAO KOTOKO », en abrégée LEY SAO KOTOKO a été enregistrée le 15 Août 2017 au registre des associations sous la folio N°776.
« « Mwague-margué » qui signifie soyons solidaires, cette devise doit guider nos actions et visions sur le terrain. Si nous sommes reconnus à travers notre identité culturelle, c’est parce que nous avions respecté cette civilisation basée sur la solidarité qui nous unit, » a laissé entendre Madame Dakouma Abbaguia.
Lançant les travaux, le Président National de l’Association « Ley Sao » Kotoko, Khalifa Malloum, a indiqué que les antennes sont des véritables chevilles ouvrières de LEY SAO. « Vous êtes chargés de mettre en œuvre les plans d’actions et les projets de programme qui devez exécuter après leur adoption par l’Assemblée Générale », a-t-il ajouté.
Tout en souhaitant plein succès à l’équipe « Ley Sao » antenne de N’Djaména, il a les invités à relever les défis.
Rappelons que « Ley Sao » est une association communautaire apolitique qui a pour objectif de contribuer et favoriser le développement culturel, social et économique de la communauté Kotoko dont les jeunes sont investis afin d’assurer le bien être de leurs populations.
Mahamat Moussa Ahmadou