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Tchad : Les acteurs des médias échangent sur la mission et la vision de l’UNFPA en matière de communication

Le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) organise un atelier pour renforcer les capacités des journalistes et communicateurs sur sa mission et sa vision en matière de communication, du 13 au 14 août, à Bakara. Le coup d’envoi des travaux a été donné ce 13 août 2024.

L’objectif de cet atelier est de former une vingtaine de journalistes et communicateurs sur des thématiques telles que la planification familiale, les violences basées sur le genre, l’autonomisation des femmes, les interventions humanitaires, la santé maternelle, et la promotion du leadership des jeunes et des dividendes démographiques.

Dans son discours, le conseiller technique de l’UNFPA, Dr Jean Paul Makay, a souligné qu’il est essentiel que les communicateurs et les journalistes continuent de jouer un rôle clé dans la transmission d’informations publiques et, par conséquent, dans le changement souhaité, auprès du public et des décideurs. L’UNFPA prévoit donc de renforcer son partenariat avec la presse en organisant davantage de formations et d’ateliers pour renforcer leurs capacités et contribuer à la réalisation de ses objectifs.

Pour lui, l’UNFPA reconnaît l’importance des médias pour atteindre ses trois transformateurs. À travers et avec les médias, nous renforçons nos efforts de sensibilisation pour accroître la compréhension, l’adhésion et l’engagement des parties prenantes à soutenir notre mandat, a-t-il ajouté.

Ouvrant les travaux, le secrétaire général du ministère en charge de la communication, Mbaidiguim Elon, a indiqué que le gouvernement, avec l’appui multiforme de son partenaire, l’UNFPA, ne peut se matérialiser que par un mécanisme impliquant la communication, en vue de trouver les voies et moyens nécessaires pour améliorer et capitaliser les acquis favorables à la promotion et à la protection des droits des jeunes filles et des femmes dans les médias.

Mbaidiguim Elon a ensuite profité de l’occasion pour rappeler l’importance de la participation active, afin de tirer le maximum d’expériences permettant de produire et de diffuser des articles et reportages traitant des questions des jeunes filles et des femmes.

Signalons que, durant deux jours, les participants vont se familiariser aux thématiques liés à la santé de la reproduction et des violences basées sur le genre.

Mahamat Moussa Ahmadou

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